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 1480 - Du sel, une bague, genre, tu connais la chanson quoi. [Lituanie]

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Polska/Feliks Łukasiewicz


Polska/Feliks Łukasiewicz

OMG like, totally
Messages : 4
Date d'inscription : 19/02/2014

1480 - Du sel, une bague, genre, tu connais la chanson quoi. [Lituanie] Empty
MessageSujet: 1480 - Du sel, une bague, genre, tu connais la chanson quoi. [Lituanie]   1480 - Du sel, une bague, genre, tu connais la chanson quoi. [Lituanie] EmptyJeu 10 Juil - 19:23

Froush froush froush. Les bottes piétinaient l'herbe d'un rythme rapide. Le pas pressé, le blond resserra la lourde cape autour de son cou pour ne pas qu'elle vienne à glisser de ses épaules. Par terre, elle allait se salir, et c'était franchement pas la classe. En plus, la ramasser allait lui faire perdre du temps alors qu'il était investi d'une mission de la plus haute importance. Cela pouvait se voir, par ses sourcils froncés, genre très froncés, qui lui donnaient le regard du polak qu'il ne faut pas embêter sous le moindre prétexte. Heureusement, il faisait beau, ça aurait été vraiment pas super de s'occuper de ça sous la pluie, ses cheveux se seraient retrouvés dans un sale état. Feliks cherchait à atteindre la cour à l'arrière du château, en quête de l'heureux élu qui aurait l'immense et indescriptible honneur d'être supervisé par son incroyable personne.

Bref, quelqu'un qui lui servirait de larbin jusqu'au crépuscule. Ou au matin suivant, si l'humeur y était.

La victi -ahem- le glorieux mandaté pour cette affaire était tout trouvé. Celui-ci serait même le plus heureux des petits-bruns-pas-si-petit-mais-surtout-pas-trop-bien-habillé-genre-daltonien-des-temps-anciens, puisqu'il s'agissait d'une tâche envoyée par Dieu lui-même, yep ! Parce que m'voyez, Pologne et Dieu, ils étaient genre, des potes quoi. Souvent, il lui apparaissait la nuit pour discuter ou jouer aux dames, parfois ils se faisaient même des batailles d'oreilles, parce que Dieu, c'est quelqu'un de cool. Enfin, ça ou c'était parce que Feliks mangeait décidément trop avant de dormir. D'ailleurs, lorsqu'il se souvenait de l'ordre divin, c'était toujours au réveil, mais, pour lui, aucun lien. Pas de hasard, pas de doute, il fallait qu'il réalise ce qui devait être fait. C'est de cette manière qu'il s'était redressé soudainement -façon Nosferatu- de la paille -parce que les cercueils, ça le fait pas trop et puis Roumanie pourrait crier au plagiat- sur laquelle le blond avait profité d'une grande et profonde sieste, pas loin des chevaux, à défaut de poneys. Les yeux tout juste ouvert, il sentait encore à plein nez l'odeur du sel qui l'avait hanté pendant tout son rêve. Et, bien qu'il fut s'agit d'un songe, Feliks était persuadé qu'il s'agissait de la réalité vraie, genre aussi vraie que son roi s'appelle Casimir Le Restaurateur (ce dont l'histoire ne se remettra jamais, pas plus que celle qui écrit ces mots). Le livre qui avait glissé de son ventre lorsqu'il s'est levé ne lui avait pas plus mis la puce à l'oreille au sujet des intentions qu'il considérait comme vitales. L'ouvrage en question était donc resté abandonné, sur la paillasse, pleurant de ses petites larmes de feuilles pendant que son propriétaire s'était fait la malle. Et oui, je vous vois venir, Feliks lisait effectivement un livre, mais faut pas oublier qu'à cette époque, le magazine people le plus hype, c'est quand même la Bible.

Froush froush froush. Pour en revenir à nos moutons, le polonais cherchait le brun qui allait assurément bouffer de la poussière en ce jour béni, et ce n'était absolument pas un signe prémonitoire de son futur en tant que soubrette russe, enfin on y était pas encore. Ensuite, puisqu'il n'était pas encore passé du côté "charmante lituanienne de maison" de la force, Pologne furetait du côté de là où s'entrainaient les chevaliers, même s'il était sûrement le chevalier le plus clean de la terre. Nan, sérieux, arrête de frotter cette pièce d'amure. Le pas s'accéléra alors que le regard vert de la Nation-du-centre-de-l'Europe-et-donc-du-monde se fixa sur sa cible pour trottiner et finalement lui bondir dans le dos sans la moindre gêne tout en lui vrillant, au passage, les tympans d'un fort mais non moins redouté : « LIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEEEEEEEEEEET ! »

Enchanté Lituanie, vous êtes à présent l'heureux bénéficiaire d'un greffon polonais avec toutes les options qu'il en incombe. Pleurez pas tout de suite, vous avez l'éternité pour en profiter.

Quoi qu'il fut en train de faire -c'était bien évidemment moins important que la quête divine qui lui avait été soufflée dans son sommeil de polonais- Feliks tira arbitrairement le malheureux brun par le bras piaillant avec véhémence, genre comme si l'albinos teutonique était venu emprunter du sel sans prévenir personne « J'ai grave trop besoin de toi style maintenant tout de suite de là genre ! » Et, si Pologne s'exprimait comme un adolescent foulant la Terre environs cinq siècles plus tard, ce n'était pas important, un simple détail tout à fait minime. Feliks était tellement en avance sur son temps après tout, suffisait de voir Copernic. Enfin, c'était avant qu'on lui donne une tape sur l'arrière du crâne en lui disant de retourner jouer avec ses mignonnes maquettes de planètes et d'arrêter d'embêter le monde qui tournait très bien au centre de l'univers. En tout cas, Toris fut forcé à la cessation de ses activités pour être trainé en dehors du château avec une pelle. D'où le polonais sortait-il cette pelle ? Certains esprits mal placés pourraient aisément y répondre, mais nous nous contenteront d'affirmer que le blond s'en était emparé sur le trajet. Restons décents.

« Elle est tombée genre ! Elle est totalement tombée Liet et elle s'est carrément perdue !!!! » S'exclamait le blond. De quoi parlait-il ? Sûrement pas de sa logique, celle-ci étaient aux abonnés absents depuis que les Polanes grattait la terre , un sacré bout de temps donc. « Il faut totalement la retrouver sinon ça sera genre trop triste et puis, il pourrait y avoir genre une GUERRE quoi ! » Ah, tout de suite, ça paraissait plus intéressant, presque politiquement intelligent si on ignorait que la stratégie politique du blond était de taper sur des trucs et de dire que tout ce qu'il montrait du doigt lui appartenait "parce que".  A propos de doigt, Feliks lâcha enfin le bras du lituanien et pointa l'index vers le sol alors qu'ils se trouvaient à présent dans la cambrousse la plus totale, entre trois arbres et Wieliczka au loin.

« Il faut genre totalement que tu creuses ici ! » Sur le ton du polonais qui n'admettait pas la moindre protestation. Plus vite que ça, c'est un ordre ! Bien entendu, il ne lui avait pas encore parlé de ce qu'il état censé trouver en creusant, ni même du pourquoi exact de la requête.

Cela aurait été trop facile.
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Lituanie/Toris Lorinaitis


Lituanie/Toris Lorinaitis


Messages : 7
Date d'inscription : 19/02/2014

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MessageSujet: Re: 1480 - Du sel, une bague, genre, tu connais la chanson quoi. [Lituanie]   1480 - Du sel, une bague, genre, tu connais la chanson quoi. [Lituanie] EmptyLun 22 Sep - 16:25

Lituanie aimait bien que ses journées soient productives. D'aussi loin qu'il se souvienne, il s'était toujours levé avec le soleil, et se couchait.... largement après, certes, ayant toujours une ou deux choses à finir, mais lorsqu'il fermait les yeux, avec le sentiment de n'avoir pas perdu son temps, il était heureux.

Bon. Les choses avaient mal mal changé depuis qu'il devait compter avec Pologne dans son quotidien. Oh, ce n'est pas qu'il détestait ça ! Il avait eu juste eu... un peu de mal à s'accoutumer, au début. Pologne était un procrastineur-né, et souvent, quand il observait celui-ci se livrer à ses activités favorites, c'est à dire glander et faire des choses sans aucun sens, il se demandait comment il était parvenu à accumuler autant de conquêtes. Pour être honnête, au commencement, il s'était demandé si ce n'était pas, lui, par hasard, qui était dans le faux. Peut-être que c'était Pologne qui avait raison. Peut être que oui, les chevaux étaient plus rapides lorsqu'ils avaient la queue tressée et des rubans autour des oreilles. Peut-être que oui, donner cent coups de brosse dans ses cheveux chaque soir rendait plus puissant. Peut-être que oui, réussir à voir des lapins dans la forme des nuages était une chose absolument nécessaire pour devenir fort. Toris n'était pas quelqu'un de contrariant. S'il avait accepté d'adopter la langue polonaise et la religion catholique, c'avait été avec un petit pincement au coeur, mais de la bonne volonté. en même temps, c'était pas non plus comme si on lui avait demandé son avis. Néanmoins, avec le temps... il était revenu à son mode de vie habituel, en se demandant si, en fait d'alliance, il n'avait pas été tout bonnement engagé pour occuper Pologne, histoire de laisser ses dirigeants bosser en paix. Tout était comme avant, ou presque. Il y avait juste un détail en plus. Une petite chose blonde et rose, généralement bondissante, qui coupait ses tâches pour l'embarquer dans des aventures plus ou moins épiques. Souvent moins que plus,d 'ailleurs, mais Pologne avait ses bons côtés. Et puis, en vérité... La vie était plus amusante, avec lui. Plus fatigante, aussi.

Ce jour-là, il ne l'avait pas encore croisé. C'était inquiétant. Pologne, c'est comme un très jeune enfant : plus il se fait discret, plus la connerie en préparation est importante. Néanmoins, le pauvre Liet avait choisi d'être optimiste, et en effet, cet après-midi là, il était bel et bien dans la cour où le polonais n'allait pas tarder à faire irruption. Seulement, non, il n'était pas absorbé dans le lustrage d'une pièce d'armure. Qu'est ce que c'est que ce délire ?? On parle d'un vaillant guerrier, là, pas d'une femme de ménage. Comme s'il était dans ses habitudes de se livrer au nettoyage d'équipement en pleine après-midi, franchement ! Ben non, hein. Pff. Il le faisait le matin, ça. Bon, et le soir, aussi, ok. Quoiqu'il en soit, à cet instant, l'armure toute propre, il l'avait sur lui, histoire de lui pourrir encore plus la journée, et il avait plus dans l'idée de parfaire quelques techniques que de suivre Pologne dans une épopée à la chute douteuse. D'ailleurs, il n'y pensait pas, présentement... Pas pour longtemps. On ne peut pas zapper Feliks bien longtemps, et le LII[..]EE[..]T qui lui parvint aux oreilles ne le ramena que trop brutalement à la réalité.


De fait, voir ses activités brusquement interrompues par un braillement polak était devenu habituel. Les premiers temps, l'irruption hurlante le faisait immanquablement bondir, et il se précipitait,quelque peu paniqué, épée au vent oh mon dieu Prusse attaque ?!?, pour,le plus souvent, se retrouver face à un Pologne au sourcil levé, désireux de lui montrer quelque chose d'aussi urgent et palpitant qu'un caillou rose ou sa nouvelle paire de bottes.

Néanmoins, malgré le caractère récurrent des fausses alarmes feliksiennes, son coeur manquait toujours un battement lorsque le miaulement déchirant retentissait à ses oreilles. Et là, il avait à peine eu le temps de lever les yeux que le projectile blond était déjà entré en violente collision avec son humble personne. Comme à l'ordinaire, le défi était de garder l'équilibre malgré les tentatives d'escalade polonaises tout en parvenant à placer quelques mots dans la logorrhée du Centre-du-Monde-sur-Pattes.

"M-mais... attends que je.."

Rien du tout,Liet. il ne se donna même pas la peine de finir sa phrase, et se laissa entrainer docilement, suivant à la fois Pologne et le précepte désormais assimilé depuis quelques années : on ne dit pas 'attends' à Pologne. Pas plus que 'non'. Bien. Mais il aurait quand même aimé avoir le temps de retirer la lourde armure, parce que VA SAVOIR POURQUOI, il avait le sentiment que ça n'allait pas lui servir à grand chose sinon à l'encombrer, et le fait de se voir armé d'une pelle à la place de l'épée qu'il n'avait même pas eu le temps de saisir ne faisait que le conforter dans cette conviction. Il tâchait donc de suivre, avec sa pauvre pelle, et de tirer quelque chose de concret des piaillements polonais.

Généralement, il essayait, en vain mais quasi systématiquement - et après on dira qu'il n'est pas optimiste - de tempérer les accès de folie de Pologne, dont les urgences et autres priorités différaient de beaucoup de celles d'un être raisonnable, mais cette fois, le préambule, s'il était certes fort décousu, n'en était pas moins extrêmement inquiétant. De nature anxieuse, Lituanie ne pouvait que s'alarmer. Surtout au vu de l'endroit où ils venaient d'échouer, c'est à dire au milieu de nulle part. S'il avait été moins affolé, il se serait peut-être dit que ça ressemblait beaucoup à un arrêt au hasard quelque part dans le trou du cul de la Pologne. Au sens figuré, hein. Un peu de respect pour le fondement feliksien, qui n'était d'ailleurs pas de ses préoccupations quotidiennes. Mariage ou pas.

"U-une guerre ?!"

Oh, mon Dieu, qu'est ce que tu as fait ? qu'il se disait présentement, en essayant désespérément de rassembler les éclats épars du discours complètement dénué de cohérence.

"A... Attends ! Pologne ! Qu'est ce qui s'est perdu ?? Qu'est ce qu'on cherche ??"

Le tout d'une voix déjà essoufflée, parce que  bien sûr, il s'était instantanément mis à creuser dans la terre compacte, et avec les trouze kilos de ferraille sur le dos, autant dire que c'était pas une partie de plaisir. Et ça n'aidait pas la précision de ses mouvements, si bien qu'il pelletait comme il pouvait, grincement de gonds rouillés inclus, en tâchant de ne pas faire valser trop de terre et de ne pas salir Pologne. Les capacités de ce dernier en terme de production de décibels était déjà bien assez importantes.
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